Dans l’écrin d’un manoir du XVIIᵉ siècle, deux suites vous ouvrent leurs portes. La première, au premier étage, mêle l’intimité d’une chambre avec sa salle de bain et ses toilettes, au charme d’un salon accueillant, prolongé par un espace repas. La seconde, perchée sous les toits au deuxième étage, déploie deux chambres doubles reliées par une vaste salle de bain. Le domaine vit en harmonie avec la nature : au sud, une ferme laitière biologique égraine ses journées au rythme du troupeau, offrant un lait délicieux dont les visiteurs peuvent se régaler ; au nord, la vallée s’évase et laisse couler la rivière La Flèche. À l’est, les chambres contemplent les vestiges des fortifications de l'ancien château, témoins d’histoires oubliées. À l’ouest, les prés s’animent doucement sous la présence de chevaux trentenaires, savourant la sérénité d’une retraite méritée. Parfois, le ciel s’embrase du grondement des Rafales venus de la base aéronavale de Landivisiau, offrant aux amateurs d’aviation un ballet saisissant, entre puissance et majesté. Non loin de là, à cinq minutes, le château de Kerjean dresse ses murailles et vous entraîne dans un voyage à travers les siècles. Et si l’envie vous prend de respirer l’air marin, les plages vous attendent à vingt-cinq minutes, promesses d’instants de quiétude et de liberté. Au cœur du triangle formé par Brest, Morlaix et Roscoff, le manoir de Keryvon constitue une base idéale pour découvrir les richesses culturelles et naturelles du Nord-Finistère.

Degemer mat er maner Kereozen (Bienvenue au manoir de Keryvon)! Nous sommes un couple franco-américain passionné par l'observation des oiseaux et la conservation de la faune et de la flore locales en Bretagne. Après avoir voyagé à travers le monde pendant de nombreuses années et découvert diverses cultures, nous sommes à notre tour ravis d'accueillir tous les visiteurs curieux de découvrir le Finistère nord. Comme nous habitons le manoir, vous nous rencontrerez certainement lors de votre séjour. Une règle importante dans la maison, comme le veut la tradition léonarde, on se déchausse pour gravir l'escalier et rejoindre les étages.